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A quoi rêve la jeunesse Suisse?
Souvenez-vous de Paul Nizan exprimant son désarroi face à sa jeunesse passée : « J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. »
La jeunesse d’aujourd’hui est-elle une génération sacrifiée sur l’autel de nos réformes, de nos dépenses, de notre système, de ses aînés ? La jeunesse Suisse se cherche et est recherchée.
Les politiques en font parfois un étendard de leurs aspirations. La jeunesse semble intéresser la réflexion politique. Son autonomie est avancée par de nombreuses voix. Panacée ou cache-misère d’un avenir incertain, l’autonomie de la jeunesse est une problématique de la confédération Helvétique.
Elle doit absolument être associée à une nécessaire ouverture au monde et à l’internationalisation des échanges (économiques mais également culturels et sociaux). Les pays scandinaves ayant apparemment une longueur d’avance sur nous sur le sujet. L’avenir de la jeunesse Suisse ne peut pas se construire selon une vision helvético-suisse.
Comment se porte la jeunesse suisse ? Quelles sont ses valeurs, ses aspirations, ses peurs, ses identités? Voit-on les choses de la même façon selon que l’on habite au Vietnam ou à Tunis? Voilà quelques-unes des questions auxquelles nous tentons de répondre pour l’innovation politique. Pour ce faire, nous voulons interroger les jeunes de 16 à 30 ans, originaires de tous les cantons Suisses. Nous réaliserons un questionnaire électronique et des questionnaires sur papier.